Cher journal,
Je m'appelle Stefan Salvatore et je suis né dans une famille bourgeoise - on pourrait même dire que le rang de ma famille était presque de la noblesse - une belle matinée de juillet 1849. J'étais le second de ma famille, mon grand frère Damon a 5 ans de plus que moi. J'avais une très bonne relation fraternelle avec lui pendant que j'étais humain, pas vers la fin mais sinon nous nous étions toujours bien entendu. Puis vers l'année de mes 17 ans nous avons accueillis une jeune femme, Katherine.

Elle était - et elle est - magnifique avec un charme unique, elle a été la première source des conflits avec mon frère. Elle est le premier vampire que j'ai connu, la première personne dont je suis tombé amoureux. Quand j'ai découvert qu'elle était un vampire j'ai pris peur et elle a été forcé de me contraindre, mon frère était déjà au courant et n'avait pas du tout peur. Damon avait bu son sang sans être contraint, moi pas, je l'ai appris après m'être transformé. Je suis mort en voulant sauver Katherine, mon père nous as tuès, Damon et moi.

Accidentellement je bu le sang de mon père à cause d'une dispute, cela acheva ma transformation et je devins un vampire sanguinaire. Mon frère me reprocha la mort de Katherine pendant 150 ans - elle avait été attrapès pour après avoir bu mon sang plein de verveine que mon père avait dissimulé dans le whisky - en essayant de me blesser physiquement et moralement. Au bout de ses 150 je revins dans ma ville natale pour m'installer à nouveau car j'avais découvert l'existence de Elena, le sosie de Katherine.

Je suis rapidement tomber amoureux d'elle ce qui m'avais surpris moi même, j'étais fou amoureux d'elle, comme avec Katherine, Damon est aussi tombé amoureux d'elle. Au début Elena y était indifférente puis elle finalement tombé sous le charme de mon grand frère, elle n'as pas hésité à rompre quand elle s'est rendu compte qu'elle l'aimer plus que moi. J'en ai eu le coeur brisé un moment, je l'aime toujours. Depuis peu de temps Katherine qui est de retour use de son pouvoir pour que je revienne à ses côtés. Je ne peux pas dire que je suis indifférent puisque je cède un peu plus tous les jours.